Le matin à 07h30, nous étions un groupe de 9 participants par une température incertaine plus ou moins pluvieuse et plus ou moins venteuse. Mais tous les participants étaient enthousiastes à aller voir les oiseaux. Malgré le vent qui était à la limite d’être acceptable, nous nous sommes dirigés en premier direction ouest pour se rendre au site de nidification des Hirondelles de rivage.
Mais attention il y a autre chose qui peut se montrer en allant vers se site. En effet aussitôt partis, ce sont plusieurs groupes de Bernaches du Canada qui sont éparpillés un peu partout. Aussi les Grands Hérons ne laissent pas leur place. J’ai commencé à emmagasiner plus ou moins le nombre des deux espèces et je vous révèlerai un peu plus loin mon décompte. Mais aussi il y a des canards dont le Colvert et le Chipeau qui sont très présents. Et oups! un beau Butor qui nous survole, repéré par Pierre Wéry. Et on continue en se rapprochant un peu de la rive. Il facile de repérer, du moins au son, quelques passereaux tel : le Troglodyte des marais, Le Bruant des marais et un matin pêcheur. Le viréo mélodieux est aussi bien présent de même que la Paruline jaune. Soudain un Pygargue à tête blanche bien perché, un immature bien sûr. Mais il reste bien en place et assez à découvert.
Et nous voilà au site des Hirondelles de rivage. Ah mais il doit y en avoir au-moins plusieurs centaines qui s’affairent à leurs nids creusés dans la terre. Des trous ils y en a au moins 600 au dernier décompte. Mais tout cela est en voie de destruction dans un proche avenir dû à des travaux pour l’expansion du port de Montréal. On a bien construit au-moins une paroi de nichoir artificiel, mais plusieurs doutes que ce soit suffisant pour garder le nombre d’Hirondelles qu’il y a sur ce territoire.
Et nous voilà au site des Hirondelles de rivage. Ah mais il doit y en avoir au-moins plusieurs centaines qui s’affairent à leurs nids creusés dans la terre. Des trous ils y en a au moins 600 au dernier décompte. Mais tout cela est en voie de destruction dans un proche avenir dû à des travaux pour l’expansion du port de Montréal. On a bien construit au-moins une paroi de nichoir artificiel, mais plusieurs doutes que ce soit suffisant pour garder le nombre d’Hirondelles qu’il y a sur ce territoire.
Même si le spectacle était de toute beauté et avec un concert aussi impressionnant, nous avons traversé vers l’île Bouchard. Le vent était toujours là et les vagues nous donnaient la frousse à certains moments, quand ce n’était pas une douche pour les participants à l’avant du ponton. Le niveau d’eau ayant passablement baissé ces derniers temps, on ne pouvait traverser l’île Bouchard. Nous sommes revenus vers les îles de Contrecœur à l’abri du vent. Nous nous sommes posés sur le bord du couloir et un Balbuzard pêcheur s’est montré. Il semblait à la recherche d’une partenaire en vue de compléter son nid sur le diminutif phare. Nous avons continué notre ronde pour se diriger vers le grand phare. En route, il y avait toujours des Cormorans à aigrettes et des Bernaches du Canada en plus ou moins grand groupe qui faisait accumuler le nombre. Rendu au grand phare, il y avait un couple bien actif de Balbuzards pêcheurs qui s’est fait entendre et qui s’est bien montré au grand plaisir des photographes. Quelle beauté!
Nous avons continué en contournant l’île aux bœufs et en suivant la berge, de nombreux passereaux se faisaient entendre et parfois se montraient comme le Tyran Tritri et les Grands Hérons s’accumulaient, de même que les Bernaches. Nous avons compté près de 20 Grands Hérons et au-moins 600 Bernaches du Canada. Tout cela en complétant notre tour du matin.
C’était l’heure du lunch et le groupe pour le tour de 13h00 commençait à arriver avec l’envie de vivre notre expérience. Cependant le vent avait pris un peu de force même si le dégagement du ciel paraissait moins menaçant que le matin. Un groupe de 4 sur les 6 personnes inscrites ont pris place vers 13 h pour répéter sensiblement le même trajet à l’exception du site à Hirondelles de rivage du fait que le vent devenait inconfortable et à la limite dangereux. Le tour s’est limité à l’archipel de Contrecœur mais à la lumière des commentaires, ça en valait la peine. Le groupe a pu voir la Gallinule d’Amérique qui n’avait pas été vue le matin.
Nous avons continué en contournant l’île aux bœufs et en suivant la berge, de nombreux passereaux se faisaient entendre et parfois se montraient comme le Tyran Tritri et les Grands Hérons s’accumulaient, de même que les Bernaches. Nous avons compté près de 20 Grands Hérons et au-moins 600 Bernaches du Canada. Tout cela en complétant notre tour du matin.
C’était l’heure du lunch et le groupe pour le tour de 13h00 commençait à arriver avec l’envie de vivre notre expérience. Cependant le vent avait pris un peu de force même si le dégagement du ciel paraissait moins menaçant que le matin. Un groupe de 4 sur les 6 personnes inscrites ont pris place vers 13 h pour répéter sensiblement le même trajet à l’exception du site à Hirondelles de rivage du fait que le vent devenait inconfortable et à la limite dangereux. Le tour s’est limité à l’archipel de Contrecœur mais à la lumière des commentaires, ça en valait la peine. Le groupe a pu voir la Gallinule d’Amérique qui n’avait pas été vue le matin.
Martin Perreault a bien voulu faire une fiche Ebird qui montre bien ce qu’on peut voir dans cette excursion : https://ebird.org/checklist/S143821983
Merci à tous ceux qui ont participé à l’un de ces 2 voyages.
Merci à Stephan Roy-Plante de nous avoir si bien conduit avec son grand ami loup le chien et tous ses bons commentaires si instructifs, en plus du bon repérage des oiseaux.
Merci à tous ceux qui ont participé à l’un de ces 2 voyages.
Merci à Stephan Roy-Plante de nous avoir si bien conduit avec son grand ami loup le chien et tous ses bons commentaires si instructifs, en plus du bon repérage des oiseaux.
Pierre St-Onge
Votre organisateur